scoop : en 2010 les MAKALI seront de retour à Ste Marie !

Publié le par Laurent Digon (professeur documentaliste)

Le vernissage de l'exposition des travaux d'élèves ( DCG2 et CAP PHOTO 1 promotions 2008/2009)  aura lieu au mois de mai,

la date sera précisée très prochainement.

partons à la découverte du groupe les MAKALI, qui ont gentiment accepté de travailler avec nos élèves.
Encore un gros merci pour leur implication dans ce projet





http://www.myspace.com/chezmakali


http://chezmakali.com/



 

 

Biographie

Les Débuts :

En 2003, dans le Luberon éclôt Makali, formé d’Armelle Ita (Chant-Clarinette et Auteure), Andrea Papi (Guitare et Choeurs) et Barnabé Saïd-albert (Chant-Guitare et Auteur).

Ils font leurs premiers pas dans les bars et

 cafés-concerts près de chez eux.

Audrey Saturi (Violoncelle), Cleps Puig (Basse et Contrebasse) et Nico Rew (Batterie et Percussions) les rejoignent sur la route, enrichissant au fil des dates leur univers acoustique et teintant leurs compositions de folk, swing ou de reggae.






Fin 2004, une première auto-production voit le jour. Ce premier CD 7 titres permet au groupe de démarcher le milieu professionel.









La B.O du Film :

Malgré tout, créations, répétitions et concerts ne financent pas le quotidien. Chacun travaille de son côté : postier, prof de musique et petits boulots…

En 2005, Andrea et Cleps, recrutés sur un tournage hollywoodien dirigé par Ridley Scott dans le Vaucluse, font connaître la musique de Makali à la production du film. Trois titres de leur maxi sont ainsi retenus par la Fox pour figurer sur la bande originale de “A Good Year” (avec Russel Crowe et Marion Cotillard).

“Il faut du temps au temps” est même utilisé pour le générique final du film et apparaît sur le disque de la B.O.

Le groupe signe ainsi le premier contrat de sa jeune carrière.



La Scène :

La volonté du groupe à partager leur univers avant tout sur scène, leur permet de multiplier les rencontres ; ils font les première parties de Dobé Gnahoré, Susheela Raman, MIG, Jacques Higelin, Anaïs

En 2006, leur chemin croise éditeur et tourneur et l’aventure se poursuit : le groupe fait plusieurs premières parties de Raphaël, Yannick Noah et joue dans les arènes de Nîmes, le théâtre antique de Vienne ou sur l’île du Gaou.

A Noël, le label Mercury les signe.






L’Album :

Fidèles à leur environnement, le groupe s’installe au Studio Vega à Carpentras pour quelques semaines.

Epaulé par le réalisateur Phil Delire (Bashung, Renaud, Noir Désir…), ils fixent 13 titres de leur répertoire et y accueillent sur le titre “Comme le mal emporté” Stéfane Mellino (Négresses Vertes) à la guitare.

Ce premier opus leur permet de développer les chansons interprétées par Armelle et Barnabé. Moments intimes, énergies maitrisées, fraîcheur, sensualité…

A la croisée des mélodies du violoncelle, de la clarinette et d’une base rythmique solide, les guitares ourlent les morceaux d’un swing nouveau.

L’Univers :

Avec l’aide de leurs amis, ils développent leur identité visuelle : photos de Cleps, graphisme de Jaw, vidéos de Christian Fournier et site de Drops.

Les Makali aiment travailler dans la proximité, mais la porte reste toujours ouverte pour de nouvelles rencontres.

Pour finir, Makali est un anagramme du mot “kalima”, ce qui signifie “parole” en arabe.

En Résumé :

Makali, c’est “De La Chanson Et Puis C’est Tout…” et pour le reste






















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